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Tampopo Yuhi | complete |

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MessageSujet: Tampopo Yuhi | complete | Tampopo Yuhi | complete | EmptyDim 5 Fév - 0:18


Dossier d'inscription à Yokosami


Tampopo Yuhi | complete | 684917yuhi2
Tampopo Yuhi
CARTE D'IDENTITÉ

NOM DU PERSONNAGE : Tampopo Yuhi.
ÂGE / DATE DE NAISSANCE : Je viens de dire au revoir à mes 17 ans le premier janvier de cette année, ô folle joie (ou pas).
SEXE : Masculin, n'est-ce point évident ?
SPORT : Je suis un contorsionniste, très cher. Et aussi, je pratique habituellement quelques arts acrobatiques appris à l'école du cirque.
ORIENTATION SEXUELLE : Ce n'est pas comme si on pouvait coller une étiquette sur l'amour, n'est-ce pas ?
GROUPE SANGUIN : A+, il me semble bien !
RAISON DE SA PRÉSENCE A LA PENSION : Parce que je ne peux pas passer le restant de mes jours à fouetter des tigres. C'est peut-être amusant, mais ça ne nourrira pas ma famille, vous comprenez ?

PHYSIONOMIE

Hey' ma belle, t'es toute seule ? Ca te dis un karaoké ?
Erreur habituelle, je ne peux point me vexer. Je le faisais, mais ne le fais plus, car c'est de ma faute, après tout. Je cesse de faire jouer ma petite balle bleue nuit sur mon bras, ce jouet que je ne me permet jamais de laisser ailleurs que dans ma poche, ou mon sac, car il faut savoir s'occuper. D'un geste incertain, je passe une main dans ma longue et épaisse tignasse ébène, réajuste ma frange en faisant une légère moue. Mes lèvres, d'une agréable couleur pastelle, celle de la pêche, beiges donc, à peine rosées, ne se lassent pas de faire ce mouvement enfantin. Je ne boude pas, ni ne suis déçu. Je me sens juste désolé de cette tromperie.
Mes cheveux noirs comme le jais, que j'ai à peine secoué d'un mouvement plutôt discret, n'aideront pas à faire comprendre à mon interlocuteur et à son compatriote qu'il y a méprise. Je devrais leur crier, vexé, que « JE NE SUIS PAS UNE FILLE ». Mais non, je ne le fais pas. A la place, c'est involontairement que je m'enfonce dans le vice, entretenant le stéréotype de la douceur et de l'innocence féminine en relevant mes grands yeux sombres vers les deux garçons. Un léger battement de mes longs cils, anormalement longs même, je dois avouer et un léger sourire se dessine sur mon visage ovale aux traits lisses et fins, mêlant la politesse et mon léger sentiment d'inconfort vis-à-vis de la situation.

Oui, je veux bien.
Je ne cherche pas à me jouer d'eux, ou à cacher volontairement mon identité. Ma voix claire et discrète, un son doux parce que lâché et porté par un ton à la fois détaché et modéré, n'arrange certainement rien, si ce n'est le plaisir de ces deux autres protagonistes. Mais j'ai envie de m'amuser. Sous prétexte que je suis un garçon, aussi, ne devrais-je pas avoir le droit d'être invité à de tels jeux ? Quelle puérile idée. Je me lève donc et ma taille ne surprendra personne, ni n'aidera les deux bougres à me démasquer. Moins d'un mètre soixante-dix, où va-t-on avec cela à part dans les bras d'un homme ?
Toujours souriant, j'époussète mon short qui laisse découvrir des jambes frêles, quoique justement musclées. Elles sont longues, malgré ma petitesse. Ce n'est pas mon incroyable souplesse qui les a faite grandir de la sorte, je dirais même plutôt que c'est l'inverse. Mes bras aussi sont d'une belle mesure, avec des petites mains qui plus est. Mains à demi-cachées par les manches de mon long pull gris, qui tombe de mes épaules, laissant découvrir une fine clavicule. Je me permet les vêtements larges, parce que j'y suis à l'aise et que certainement, j’essaie de me donner un peu plus de consistance. Je n'ai malheureusement rien à voir avec les grands et gros sportifs bodybuildés. Non, moi, je ressemble plus à une gymnaste d'une quinzaine d'années. Avec une telle carrure, essayez de prouver que vous êtes un mâle, un vrai ! La seule preuve reste bien sagement rangée dans mon short, au niveau de mon entrejambe et elle n'a pas, de toute évidence, envie de se montrer. En pleine rue, ce serait tout de même obscène, non ?

CARACTÈRE

On me dit souvent menteur, mais ce n'est que trop mal me connaître. Je ne mens jamais, je cache juste très bien la vérité et involontairement qui plus est. Je ne vois que rarement l'intérêt de parler de moi, alors souvent, j'évite le sujet. Je réponds aux questions par d'autres ou alors, je me tais. En agissant de la sorte, forcément, je me surprends à faire des cachoteries et si quelqu'un d'autre se rend compte que je joue à ce jeu-là, on finit par m'en vouloir, sans que je ne cherche à m'expliquer ou à me faire pardonner.
Les excuses ne sont pas mon fort, il faut l'avouer. Je ne trouve jamais les bons mots ou les bons gestes. Je bégaie, me reprend à maintes reprises, gémis ou soupire, de désespoir et finis par retourner fissa vers le silence. Ce n'est peut-être pas uniquement dans ce domaine-là que je montre toute ma déplorable maladresse. Je ne suis, généralement, pas très loquace, parce que dire ou expliquer m'est difficile, je préfère à la limite faire et montrer ce que je suis, ce dont je suis capable aussi.
Alors on me croit froid, tantôt dérangé. A cela, réfuter de telles opinions serait mentir. Je ne suis pas quelqu'un d’asocial, quoiqu'un peu renfermé. Mon sourire discret veut montrer une certaine amabilité polie mais dans les faits, il n’en est rien. Ce n'est pas une façade, aussi courtois soient-ils, mes sourires ne sont ni faux ni forcés. Non. Sincères mais n'expriment rien d'autre qu'un sourire et n'engagent en rien. Voilà pourquoi on me pense froid, voir réservé.
Je suis pourtant un jeune comme un autre, ou presque, avec cette même envie curieuse de découvrir les milles et une façons de s'amuser. Oh oui, j'aime m'amuser. De tout, de rien. Il n'est pas difficile de m'éveiller, moi oui ou mon intérêt, surtout. Je suis toujours surpris, fasciné par ci ou ça. Il faut dire que le monde qui nous entoure aura toujours de quoi étonner.
A côté de ça, mon propre monde à moi, mon utopie imaginaire, celle qui n'est que dans ma tête. Cette bulle dans laquelle je m'enferme et où je ne laisse presque personne entrer. Parce que les gens ne comprennent pas, me semble-t-il. Je suis bizarre, oui peut-être suis-je fou. Ce que je fais n'a aucun sens. Ce que je dis, quand j'ose dire, est tout aussi farfelu, parfois même déraisonnable. Alors souvent je baisse les yeux et fait la moue, très mauvais tic que ce jeu de lèvres boudeuses, mais je ne peux pas m'en empêcher parce que je peine vraiment et perds espoir de trouver juste un « quelqu'un » qui pourra un jour partager mes pensées.
Et si un jour cette personne faisait son apparition ? Je la rendrait triste en l'adorant. Pourquoi ? Et bien il faut dire que j'apprécie les gens, sans rire ! La solitude, ce n'est pas mon fort. Et même si je ne prononce pas un mot ou ne daigne faire un geste, j'aime à être entouré. A côté de ça pourtant, je ne m'attache pas vite, ou trop facilement. Ah non, il faut être patient, très patient. C'est un travail de mois et même d'années. Puis, quand enfin les liens sont tissés, indestructibles, je deviens possessif, à l'extrême. Ça me rend désagréable, je suis obligé de l'avouer. Je n'aime pas à moitié. Quand quelqu'un devient proche – et je dois avouer que cela n'est que très rarement arrivé – alors je fais de cette personne ma chose à moi. Cette personne, « il » ou « elle », si j'arrive à l'aimer, c'est que forcément elle a été créé pour moi. Une façon bien égoïste de penser n'est-ce pas ? Vrai. Je ne suis pas généreux, pas plus partageur.

HISTOIRE

Par ma barbe ! C'est un garçon !
avait crié Violette, la femme à barbe.


Une évidence difficilement réfutable à ma naissance (et qui devint plus complexe par la suite). Quand Violette, cette étrange femme à la pilosité déréglée, m'extirpa de mon refuge de chaire et d'organes poisseux pour finalement aller me placer dans les bras de ma mère, grande et belle magicienne, un soupir de soulagement quitta ses lèvres. Elle regarda son homme, ses amis, puis un cheval qui trainait là, avant de se redresser difficilement sur les coussins placés à même le sol, recouvert de paille, qui avaient soutenu son corps de femme enceinte plutôt inconfortablement durant le pénible travail de son accouchement. Un sourire étira ses lèvres, des larmes même coulèrent et après avoir silencieusement remercié le ciel, d'un regard vers le plafond en toile, elle avoua :

Personne ne pourrait espérer meilleur endroit pour venir au monde.
N'est-ce pas, mon Yuhi ?
ajouta-t-elle en baisant mon front encore humide.

Même si je n'avais pu lui répondre que par des pleurs injustifiés de nouveau-né, je dois avouer, aujourd'hui, que le lieu de ma naissance, aussi atypique soit-il, est certainement le plus merveilleux qui soit. Un cirque made in Japan. Pas banal, n'est-ce pas ? Mais rien n'est jamais banal quand l'on né dans une famille de joyeux saltimbanques. Les gens du cirque sont les seuls qui m'ont entouré jusqu'à très récemment.
Moi, j'ai grandis sous des chapiteaux et dans des caravanes, loin des rues crapuleuses, des écoles surpeuplées et de la folie matérielle et financière.
Une mère magicienne, un père acrobate et lanceur de couteaux. Curieux mélange, curieuse atmosphère. Mais joyeuse, bien que parfois tendue à cause des revenus incertains. Les spectacles du genre fascines jusqu'à un certain âge et nous n'avions pas vraiment la chance de faire partit des plus grands cirques mondiaux. Ce qui n'a jamais été une grande déception ou un quelconque manque en soit. On ne peut pas manquer de ce qu'on a jamais eut.

Sinon, je n'ai en aucun cas été un enfant difficile, pas même capricieux. Pendant que certains s'amusaient à Tokyo ou à Shibuya avec quelques peluches et jouets sophistiqués, moi, je passais mon temps à enfiler des costumes de scène, à rouler de rire sur le sol à cause des mascarades journalières des clowns, j'apprenais à jongler, m'émerveillais devant des tours de magie dont parfois on voulait bien me livrer les secrets ou bien je m'occupais des animaux, des plus doux aux plus dangereux, c'était mes peluches à moi et tout ce monde-là me suffisait bien. Je n'aurais jamais pu imaginer plus drôle, ni plus intéressant.
Je n'avais pas franchement de contact avec beaucoup d'enfants de mon âge autrement. La plupart des gens que je pouvais côtoyer étaient soit des adultes, soit des adolescents. Je ne sais pas si cela me rendit plus mature avant l'âge ou bizarre, mais alors que j'entrais dans l'adolescence pendant que certains de mes camarades en sortaient, mes parents commencèrent à s'inquiéter.

Tu n'es pas envieux, de tous ces enfants qui vont à l'école ?
me demanda mon père, un jour.
Leur envier quoi, si ce n'est leur uniforme ? Et encore là, les miens sont mieux.
L'amitié alors, l'amour ? Tu as la famille, mais ça ne suffit pas. Tu as la force, l'agilité, mais ton intelligence, bien que très juste, pourrait être encore meilleure. Tu as des choses à découvrir, d'autres à perfectionner. Ce n'est pas en restant ici que tu y arriveras.
Mais maman et toi, vous avez l'amour, vous avez l'amitié...
Oui l'amour. Mais cet amour, ce n'est pas au cirque que nous l'avons trouvé.

Mes très chers géniteurs s'étaient rencontrés, effectivement, lors de leur première année de lycée. Chose dont je ne parlais jamais, parce que ça ne m'intéressait pas. Mais eux s'y intéressait pour moi, car certainement, en avaient-ils quelques bons souvenirs ? Peut-être même des regrets ? Non, la vraie raison était autre. Même si elle restait muette, en simple arrière-pensée, je savais que mes parents s'inquiétaient de mon avenir financier. Ces mêmes personnes qui, alors à peine âgées de 15 ans, avaient osé quitter école et famille pour aller jouer les funambules, sans se soucier de l'argent, bien loin de là. Ce n'est que trop tard que leurs inquiétudes s'exprimaient et c'était à moi de les leurs enlever en suivant le parcours qu'ils avaient dédaigné en riant. Une route qu'ils avaient ignoré, insouciants et dont-ils voulaient en faire mon chemin, chemin vers ma destinée. Une destinée qu'ils ne connaitraient jamais, mais qui curieusement, semblait leur paraître intéressante à présent. Oui en fait, ça sonnait peut-être bien comme des regrets.

Trop lâche ou respectueux pour tenir tête aux personnes que je chérissais, j'abdiquais. Mais petit à petit. Je refusais de quitter le cirque dans lequel chaque jour je m'épanouissais. J'y jouais le contorsionniste, l'équilibriste et le jongleur à mes heures perdues. Mon attachement pour mes semblables et aussi pour les animaux dont je continuais de m'occuper m'empêchais d'être trop faible tout de même et ainsi, je pouvais refuser de rejoindre un quelconque collège. Je n'étais pas prêts, de toute évidence, à me jeter dans ce bassin-là alors que je n'aurais su comment y nager. Des cours par correspondance, c'est le seul compromis que je fis, dans un premier temps et malgré les revenus difficiles. Mais je crois bien que j'espérais, en quelque sorte, faire abandonner à mes parents cette stupide idée. Vainement.

Mais bien vite, je compris. Je me pris au jeu, trop facilement. Je gardais ma passion du cirque et mes bouffonneries, mais je me découvrais un drôle d'intérêt pour l'école et le savoir qu'elle pouvait me transmettre. Tous les jours j'apprenais, des choses surprenantes, parfois même inimaginables. Je percevais un nouveau monde à travers les pages de mes livres. Je devenais curieux, incroyablement curieux. Je m'en voulais, mais étais trop excité pour que ma culpabilité ne dure éternellement. Je comprenais mes parents, désormais. Le cirque était une chose merveilleuse, mais il y avait d'autres choses encore plus séduisantes à voir ou à connaître, je ne pouvais pas me contenter d'en rêver. Je devais voir, savoir.
Une année de cours dans une caravane fut suffisante. Ensuite, je craquais. J'avais envie qu'on m'explique mieux, que je comprenne plus. Alors, j'entrais dans une vraie école. J'y finissais mon collège, avec une grand agitation intérieure, que je ne faisais pourtant jamais paraître. Mon rapport à l'autre était plutôt compliqué. Les gens du cirque n'avaient rien à voir avec ceux du reste du pays. Tout me semblait plus compliqué et mon physique inquiétait, surprenait. Ma façon de m'exprimer aussi, ma façon de bouger encore plus. On ne comprenait pas, alors on se moquait, on riait, ou on m'ignorait. Je ne faisais pas attention, n'en voulait à personne. J'avais mon monde, déjà, je n'avais pas besoin de me soucier d'un autre.

Puis arriva le temps du lycée, public pour ma première année. Et c'est là que tout bascule et se bouscule. Plus pour mes parents que pour moi dans un premier temps, mais chaque événement entraine une espèce de jeu de cause à effets. Alors que je faisais de mon mieux dans les études, délaissant peu à peu le cirque (sans l'oublier pour autant), mes parents au contraire, s'employaient à faire vivre leur passion de plus en plus durement. Comme essayant de rivaliser avec mon emportement soudain pour ma scolarité. Leur acharnement paya davantage que ce dont-ils n'auraient jamais pensé. Ils purent intégrer le grand Cirque du Soleil, passant de la petite tournée nationale aux longues tournées mondiales. Ils allaient pouvoir vivre beaucoup mieux grâce à ce qu'ils avaient toujours adoré alors que je m'apprêtais à vivre de choses complètement différentes.

Le pensionnat Yokosami !
s'exclama ma mère en tapant dans ses mains.

J'aurais voulu rétorquer. Argumenter. Expliquer que je n'étais pas obligé de me retrouver enfermé dans un internat. Je ne voulais pas rompre définitivement avec le cirque. Et comme mes parents, j'avais cette envie de voyager. Je pouvais tout aussi bien aller dans des écoles internationales, je ne doutais pas un seul instant de mes capacités. Oui. J'avais toutes les raisons et excuses valables pour rester aux côtés de mes géniteurs. Mais seulement un sourire étira mes lèvres avant que je ne réponde :

Une très bonne idée, je suppose. Cet établissement semble avoir une bonne réputation.

Je fus gratifié, même remercié d'un des plus beaux sourires que je n'avais jamais vu, ce n'était pas même de mon niveau. C'était suffisant pourtant, je pense bien. Je ne pouvais rien leur infliger, pas même m'imposer. C'était leur rêve, pas le mien, plus le mien en tout cas. Qui aurait cru que je puisse un jour penser de la sorte ? Certainement pas moi et pourtant, c'était bien le cas. Je ne deviendrais pas dompteur, trapéziste ou autre folie du genre. Je ne savais d'ailleurs pas ce que je deviendrais, mais j'allais trouver ma réponse en restant au Japon et en intégrant ce mystérieux lycée.

HORS JEU

AVATAR CHOISIT : Quelqu'un by Sumishuu.
VOTRE PSEUDO : Anonymous.
VOTRE ÂGE : Je suis un fossile, haha. Non plus sérieusement, je dois avoir entre 18 et 20 ans, dans ces eaux-là.
CODE DU RÈGLEMENT :



Dernière édition par Tampopo Yuhi le Dim 5 Fév - 5:45, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Tampopo Yuhi | complete | Tampopo Yuhi | complete | EmptyDim 5 Fév - 4:12

So sorry pour le double poste, mais... Ma fiche est terminée :3
Ainsi, je voulais juste prévenir le staff.

En vous remerciant ;3
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MessageSujet: Re: Tampopo Yuhi | complete | Tampopo Yuhi | complete | EmptyDim 5 Fév - 15:05

Bonjour dans ta fiche tout me semble, Ok. J'ai beaucoup aimée la lire :)
Petit point à ce rapeller Yokosami n'est pas un lycée mais un pensionnat sinon tout le reste semble parfait à mes yeux :)

Je te valide ♥
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MessageSujet: Re: Tampopo Yuhi | complete | Tampopo Yuhi | complete | Empty

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